Après avoir développé l'intérêt d'une prise en charge en isocinétisme en chaine cinétique fermée en post-opératoire après plastie du ligament croisé antérieur, puis après rupture du tendon calcanéen dans un protocole excentrique de type Stanish, ou encore de l'influence de la flexion de hanche sur la force des ischios-jambiers.
Ce deuxième billet développe un paramètre qui est souvent mis de côté lors des tests d'évaluations isocinétiques: La qualité de force relative. Cette présentation a été donnée par Jean Louis Croisier lors des XVèmes rencontres Médimex 2013.
Depuis quelques temps déjà (plus d’informations ici ou là), le GERAR a eu l’occasion de participer à cette nouvelle journée organisée
par Médimex. Cette rencontre a eu lieu le 29 novembre dernier, et celle-ci
s’est articulée autour de 4 thèmes principaux : La traumatologie et
l’orthopédie, la recherche, la neurologie et pour terminer la médecine du
sport.
Cette année, de nouveaux invités, des thématiques d’investigations
toujours différentes autour de l’isocinétisme et encore des présentations qui
méritent d’être analysées et critiquées.
Forestier R., Françon A. et Graber-Duvernay
B.[1] ont publié une analyse de la littérature au sujet des critères de
validité d’un essai thérapeutique et l’impact en Evidence Based of Medecine. Ces auteurs centrent leur analyse sur l’utilisation des grilles de lectures
quantitatives (GLQ). Si elles restent encore incontestables, leurs démarches
scientifiques reste encore à démontrer quant à leur rigueur. De plus, il serait
tentant de faire l’amalgame entre la valeur des essais thérapeutiques et la
valeur de la thérapeutique elle-même. Le but de cet article est donc de
déterminer les domaines de la validité d’un essai thérapeutique faisant l’objet
d’évaluations possibles. Les auteurs ont l’ambition également de créer une aide
pour élaborer des grilles de lecture prenant en compte les contraintes
spécifiques aux essais cliniques non-médicamenteux.